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Bertrand Loreau
Biographie
Bertrand Loreau naît dans une famille de musiciens classiques ; son père joue du violon, ses frères et sœurs de la clarinette, du piano et du violon. Il entre au cours Mozart de Nantes à sept ans, mais abandonne son initiation au piano à onze ans, découragé par un enseignement qu’il trouve rébarbatif. Sa passion pour la musique se développe lorsqu’il découvre la musique de Pink Floyd en 1972, en Angleterre, puis toute la musique progressive anglaise entre 1973 et 1975. Il assiste à un concert de Klaus Schulze en 1977 à Nantes et développe la conviction qu’il jouera du synthétiseur. Il développe à partir de là un grand intérêt pour l’électronique et suivra une formation universitaire dans ce domaine.
En 1981 Bertrand Loreau achète avec son premier salaire un instrument d’occasion à Lionel Palierne : le Korg MS20 avec son sequencer SQ10. Quelques mois plus tard son set enrichi d’un Korg 770 et d’un Crumar Multiman S lui permet d’enregistrer ses premières cassettes, dont certains passages se trouvent dans les albums : “Réminiscences” et “Journey Through The Past”. Son premier CD est fabriqué et distribué par le label MUSEA en janvier 1993 et sera suivi de six autres réalisations jusqu’à sa rencontre avec le label Spheric Music sur lequel il a déjà signé trois albums et un album en collaboration avec Olivier Briand.
Musique souvent romantique et empreinte d’émotions nostalgiques, ce représentant de l’école nantaise -comme Olivier Briand– apprécie les arrangements épurés et revendique l’influence des pionniers allemands par l’usage qu’il fait des séquences. Son œuvre souvent teintée d’harmonies classiques privilégie la mélodie mais ne s’interdit pas parfois des excursions dans le domaine des musiques électroacoustiques.
Frédéric Gerchambeau et Bertrand Loreau, le retour – “Anantayamo”-J’admets que ses 15 premières minutes ne sont pas faciles à apprivoiser. Une fois passé ça, nos oreilles embarquent dans un genre de plus en plus accessible, toujours alambiqué mais sans plus, où la musicalité s’étend dès le seconde moitié de Nabhadruma. Par la suite nous entrons dans un jardin musical sans failles où la splendeur des séquences, des arpèges et des solos de synthé est plus qu’une vision auditive, un peu comme dans Catvaratempo. Sylvain Lupari (01/02/21) : https://www.synthsequences.com/post/loreau-gerchambeau-anantayamo-2020-fr
Chronique US de “Eternal Sorrows”-Une chronique à propos de Eternal Sorrows : http://www.expose.org/index.php/articles/display/bertrand-loreau-eternal-sorrows-3.html While the influences here remain obvious, this is a serious effort with quite a bit of Loreau’s original ideas on display, especially given the primitive synthesizers at his disposal at the time
“Eternal Sorrows” – Bertrand Loreau-Eternal Sorrows est une compilation des premiers morceaux enregistrés par Bertrand Loreau en 1981. Le style de l’album est marqué par l’influence de Klaus Schulze mais laisse deviner le potentiel mélodique de Bertrand et sa sensibilité si particulière qui se révéleront beaucoup plus tard, notamment quand il publiera « Prière » en 1993
“Catvaratempo” : chronique et interview C&O-Frédéric Gerchambeau et Bertrand Loreau nous avaient déjà offert l’an dernier Vimanafesto, un superbe CD en duo, qui renouvelle et prolonge en douceur ce genre Berlin School devenu discret dans les nouveautés (à moins d’aller voir du côté de quelques « vétérans » toujours actifs, comme le Britannique Ian Boddy avec son groupe ARC, et quelques autres). Tout à l’opposé d’un Ian Boddy à spectre large, qui varie styles et collaborations et aborde parfois l’electronica ou l’ambient, Frédéric Gerchambeau comme Bertrand Loreau sont deux « purs et durs » qui restent résolument fidèles, mais à leur façon bien personnelle (ce qui n’est pas du tout contradictoire, juste enrichissant), à un genre...
“Vimanafesto”, la rencontre de deux artistes PWM (F. Gerchambeau et B. Loreau)-Vimanafesto est une œuvre où s’associent les recherches sonores avant-gardistes de Frédéric Gerchambeau et la sensibilité plus romantique de Bertrand Loreau. Les deux artistes qui revendiquent l’influence de la « Berlin school » ont ainsi produit une œuvre originale qui tire son inspiration de la musique électronique des années 70 et qui se projette en même temps vers des espaces sonores inexplorés.
Double CD “Finally” de Bertrand Loreau-Bertrand Loreau – Finally (2017) Bertrand Loreau présente son double CD « Finally » qui regroupe ce qu’il a fait de plus important, selon lui. Ce qu’il voudrait qu’on retienne de lui. Cet album est comme une conclusion ou plutôt un bilan, d’où le titre « Finally ».
Interview audio exclusive de Bertrand Loreau-Interview exclusive Patch Work Music Après l’interview audio de Sequentia Legenda, voici celle de Bertrand Loreau, toujours réalisée par notre ami NaniSound lors du SynthFest 2016. Rappelons que Bertrand a récemment sorti un album typé Berlin school intitulé In Search Of Silence, apparaît aux côtés de Klaus Schulze dans la compilation Spheric Music Silver. Je ne saurais trop vous conseiller l’écoute de son album Correspondances dans un style beaucoup plus intimiste avec un très gros travail sur les sons. N’hésitez pas à commenter et à partager, la prochaine interview audio est déjà prête ! Merci NaniSound 🙂 David
Spheric Music fête ses 25 ans avec la compilation “Silver”-Spheric Music, le label de Lambert Ringlage, fête ses 25 ans avec une compilation qui réunit entre autres, Bertrand Loreau et Klaus Schulze. Bravo Bertrand ! Unreleased tracks by Klangwelt, Robert Schroeder, Axess, Vanderson, Heimann, Mesmerised (Palantir), Bertrand Loreau and Lambert, as well as the rare titles “Late Evening” by Joel Fajerman and “The Breeze” by Klaus Schulze.
Bertrand Loreau & Lambert présentent “In Search Of Silence”-SPHERIC MUSIC presents an amazing Berlin School album in the style of the 70s: BERTRAND LOREAU featuring LAMBERT In Search Of Silence Spheric Music SMCD 6304 Bertrand has always been a fan of TD and Klaus Schulze since his youth in the 70s. On this album he presents the basic concept and basic structure for a big Berlin School work containing three long tracks like it was usual in the 70s. Bertrand used analog equipment especially a modular system which is responsible for great sounding sequences. Lambert coming from the “Tangerine Dream school“ added many effects and atmospheric sounds and put...