L’événement Floating Days est maintenant terminé.
Calepin hors-série Floating Days
En ce mois de novembre qui aurait dû voir se réunir des musiciens et des mélomanes pour fêter un artiste qui a influencé la plupart des musiciens distribués par Patch Work Music, notre association a décidé de fêter le pionnier des synthétiseurs en mettant à la disposition du public la publication “Calepin” de l’association, un hors-série spécial Floating Days, deux disques numériques en streaming, mais aussi des vidéos. Klaus Schulze est adulé par certains et en laisse d’autres indifférents mais aucun artiste qui se passionne pour la musique électronique ne nie l’immense place que tient le compositeur de « Dune » dans le paysage des musiques électroniques à la fois sensibles et avant gardistes depuis le début des années 70.
Compilation 14 titres 2CD
Les musiciens de Patch Work Music rendent hommage à Klaus Schulze.
Pour en savoir plus (artistes, détails sur les morceaux) tout est dans le calepin Hors-série.
Ce double CD est disponible ! En savoir plus
Deux morceaux ont aussi été envoyés par Mark Jenkins pour l’occasion (présentés ici en une seule piste).
Mark Jenkins a publié cette année un livre consacré à KS, intitulé “Klaus Schulze: 50 years”
Pus d’infos sur son site : http://www.markjenkinsmusic.com/
Galerie de photos, posters et tickets de concert.
Photos publiées avec l’aimable autorisation de Pascal Bouchez, Christian Piednoir et Bertrand Loreau.
Vidéos créées spécialement pour l’événement par les artistes PWM (Bertrand Loreau, Jean-Michel Maurin, Olivier Briand, Moonsatellite, Jean-Christophe Allier).
Playlist “Floating Days”
Nous vous proposons aussi une sélection de vidéos montrant Klaus Schulze au travers d’extraits de live et d’interviews, avec aussi quelques artistes très influencés par sa musique (dont Sequentia Legenda qui fait partie des artistes PWM – ici en duo avec Thomas Betzler qui a joué avec KS, mais aussi Kurtz Mindfields).
Playlist “Klaus Schulze”
L’association Patch Work Music est née en 1995.
Son but était déjà de faire découvrir des artistes français.
Elle éditait un journal : KS mag.
Ce titre avait été choisi parce qu’à cette époque de nombreux courants musicaux, comme la « techno », le « new age » et les musiques « ambient » tendaient à symboliser la recherche et la nouveauté en matière de musique électronique.
